C'est l'un des points les plus courants réalisés avec une machine universelle, c'est-à-dire avec un point droit.
La couture se fait en deux étapes.
Les pièces sont pliées face à face, mais les sections cousues ne sont pas combinées, mais sont disposées parallèlement à une distance de 0,5 à 0,7 cm (Fig. 1).
La tolérance en saillie contourne la plus petite tolérance et une ligne de raccordement est posée sur le dessus (Fig. 2).
Ensuite, les pièces sont dépliées, la tolérance en saillie contourne à nouveau la plus petite tolérance et une autre ligne de renfort est posée sur le dessus (Fig. 3).
Il convient de noter que la deuxième ligne dans certains cas peut être réalisée avec des fils de finition.
Idéalement, les allocations des parties reliées par la couture du lin doivent être différentes, c'est-à-dire qu'une allocation est deux fois plus grande que l'autre.
Par exemple : l'allocation d'une partie est de 0,5 cm, l'autre est de 1 cm ; ou 0,75 et 1,5 cm.
Mais en fait, les produits cousus avec une couture en lin, pour la plupart, sont livrés avec de très grandes marges pour un ajustement libre, donc une perte de 0,5 à 0,7 cm ne joue aucun rôle.
Un exemple de tels produits est le short ou le slip pour hommes avec un Pb de 6 à 8 cm (libre patron "Slip homme")
et chemises avec Pg 10 cm (motifs vyshyvanka pour hommes),
Mais parfois, le calcul de l'allocation est important. Par exemple, lors de la couture jean skinny.
Dans ce cas, le point arrière est cousu avec un équipement spécial, les deux lignes de point de chaînette et ont un double objectif : relier fermement et décorer la couture.
Dans des conditions domestiques, une couture en lin peut être réalisée à l'aide d'un pied spécial (Fig. 4).
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