Il y a une dizaine d'années, il y avait une blague : j'achèterai une surjeteuse, au moins je saurai ce que c'est. Et aujourd'hui, ce n'est plus drôle, car presque toutes les femmes qui s'intéressent à la couture connaissent cette merveilleuse machine à coudre.
Il convient de noter que la vulgarisation des surjeteuses a commencé dans les années 90, lorsque les surjeteuses chinoises avec un petit moteur bruyant ont commencé à être massivement importées dans les pays de la CEI. Auparavant, les surjeteuses n'existaient que dans les entreprises de couture. Et les couturiers à domicile achetaient parfois une « tête » déclassée d'une surjeteuse industrielle de classe 51 et trouvaient un artisan capable de connecter la machine à un moteur pouvant fonctionner à partir d'un réseau électrique domestique.
Et à chaque instant, les heureux possesseurs et propriétaires d'une surjeteuse ont été confrontés au même problème : comment la remplir et la mettre en place.
Cette vidéo montre le moyen le plus simple...
Et quant au choix du surjet...
On ne peut pas dire que les surjeteuses de la classe 51 restent aujourd'hui inégalées en termes de facilité d'entretien et de qualité de couture par les machines de traitement des coutures de bord. Mais lors de l'achat d'un analogue chinois d'une surjeteuse de cette classe, vous devez clairement comprendre qu'il est dépourvu de nombreux ajustements et avantages dont disposent les surjeteuses domestiques.
Premièrement, il ne peut faire qu'une seule ligne de surjet.
Deuxièmement, la largeur de cette ligne n'est PAS réglable. Tout ce que vous pouvez faire, c'est changer la tension du fil.
Troisièmement, les fabricants ont économisé sur tout, même sur les enroulements de fil ! Et la tête de cette surjeteuse pèse environ 15 kg.
Quatrièmement, cette surjeteuse n'est pas adaptée à la production de masse en raison de la faible puissance du moteur.
Mais, si vous l'avez déjà achetée, apprenez à la ravitailler et pensez à acheter une surjeteuse nouvelle génération.
Rejoignez ma communauté sur Viber...
